Il semble que, quelles que soient les circonstances d’une rencontre entre deux personnes, la question de savoir qui domine se pose d’emblée, souvent de manière très subtile. Entre étudiants, qui a les meilleures notes ? Entre cadres dirigeants, qui gagne plus et a le plus grand bureau ? Entre deux jeunes garçons, qui est le plus fort ? Parmi les animaux, l’affaire est claire. Les oiseaux, en particulier, évaluent la taille de chacun avant de décider qui ils vont mener par le bout du bec !
Domination/soumission sont probablement les interactions les plus basiques qui soient entre les créatures, grandes et petites. Dans la culture occidentale, le comportement de soumission n’est pas récompensé. Nous avons tendance à pousser nos enfants vers toujours plus d’opportunisme et d’arrivisme, et des expressions telles que « il ne faut jamais abandonner » reflète bien notre croyance dans la domination sociale.
Je serais prêt à duper un point de contrôle sans me sentir gêné le moins du monde.
Correct !
Faux !
-
J'ai interpellé et questionné avec rudesse un intervenant en public.
Correct !
Faux !
-
Je me sentirais gêné de réprimander un ouvrier qui n'aurait pas terminé le travail demandé.
Correct !
Faux !
-
Je me sentirais intimidé de devoir entamer une conversation avec un inconnu.
Correct !
Faux !
-
Ca ne me gêne pas de présenter les gens les uns aux autres lors de réunions.
Correct !
Faux !
-
Je peux couper une file d'attente sans me sentir coupable.
Correct !
Faux !
-
Quand je conduis, ça ne m'ennuie pas de suivre une longue file de véhicule.
Correct !
Faux !
-
Lorsque je dîne avec des amis, je serais capable de me plaindre si le serveur m'apporte une portion de nourriture trop réduite.
Correct !
Faux !
-
Quand je suis en froid avec une personne, je ne lui téléphone pas. J'attends plutôt qu'elle m'appelle d'abord.
Correct !
Faux !
-
J'adore expliquer aux gens comment faire les choses.